Ich denke, so ich bin. *

Je ne comprenais pas pourquoi, Paris, était conciderée comme la plus belle ville du monde ... Jusqu'à hier soir.

Magnifiques vues du haut de l'Arc de Triomphe. Magique. *

Putain de soirée ! : )

Tartine norvégienne, 25 cm de circonférence ! Mmm... Délicieuse. Bataille d'eau, balançage de serviettes en papiers ... ' Mais arrêtez bande de gamins, on est dans un restaurant ! ' Banquette super confortable. ' Mais Thayya, pourquoi tu t'allonges comme ça, on est dans un restaurant ! ' Fou rire avec Lu. Petite session épouvante avec le résumé de l'émission sur les 30 phénomènes paranormaux les plus marquant. Echange d'expériences personnelles traumatisantes. Petite scéance photo. ' Mais c'est pas l'endroit pour taper la pose, on est dans un resto. putain ! ' Tournée bière, 6 € les 33 cl, à ce prix là, ta bière, tu prends au moins une photo avec. Trafic de nourriture. Autres fou-rires. 23 : 45 - Départ de la musique, lumière tamisée, boule disco. ' Eh, c'est un restaurant multi-fonction. Vous croyez que les perruques afro. et les pantalons pattes d'ef. sont compris dans le service ?! ' Chansons années 70-80, et dix pauvres cloches sur la piste de danse, dont Ann., Edw., Clem' et moi. 00 : 30 il faut rentré. Pas grave on a finit la fête dans la rue, avec Ann. et Ju. ' Cap sur le Nil, tulululu. Cap sur les filles, tulululu. Je suis dans ta vie, tulululu. Je suis dans tes bras, BA-RA-COU-DA ! '

Red hot chili peppers - Dani california. <3

Girl, put your records on, tell me your favourite song. You go ahead, let your hair down. Sapphire and faded jeans, I hope you get your dreams. Just go ahead, let your hair down. // Corinne Bailey Rae.

Putain c'que j'aime l'été. :)

Clém. pense que le Marsupilami est un Pokémon. C'est un véritable concentré de tendresse. Ann. parle à tout le monde, tout le temps. C'est une boule d'énergie, l'optimisme personnifié. Je l'aime. Ithil hurle comme une actrice de film d'horreur. Elle est sage et réfléchie. Lu. est un tendre abruti au grand coeur. Nous nous ressemblons. Aussi fier et buté l'un que l'autre. Lo. me fait me tordre de rire. Monsieur B. pense que je suis folle, et ne peut jamais soutenir mon regard plus de 10 secondes sans rougir. J'aime sa timidité. Sof. est un drôle de personnage, un véritable ami, une sorte de grand frère en somme. Geo. est amusant, et nous passons le plus clair de notre temps à nous chamailler. Monsieur N. aime à philosopher. Ya. est franche et entière en toutes circonstances. Ju. et Am. sont deux filles un peu givrées à qui l'on peut faire entièrement confiance. Monsieur D. est un grand homme, un père formidable, dont j'envie les enfants. Mo. est rêveuse, et m'agace parfois par l'opacité de ses sentiments. Mlle G. irradie de bonté. Monsieur R. me trouve instable, mais soutient qu'il n'y a plus grande richesse que l'instabilité.

Et quand, malheureusement, la colère me prend. Je deviens ce monstre que je hais tant. Son exact reflet.

Souvent, je me sens comme obliger d'écrire. Quelque chose, n'importe quoi, une bagatelle. Comme si le fait de pondre un récit, une nouvelle, quelques vers pouvait prouver quoi que se soit. Alors, je reste là, face au clavier, totalement stérile et on ne peut plus agacée. Je tape une phrase, l'efface, la réécrit telle quelle, la supprime de nouveau, et finit par éteindre l'ordinateur au bord de la crise de nerfs. Je me demande bien pourquoi je passe mon temps à écrire. Par peur de l'oubli ? Pour me convaincre de quelque chose ? Pour réfléchir ? Peut-être par pur soucis d'esthétisme ? Ou bien pour me convaincre qu'il reste quelques parties interessantes de ma vie à consigner ? Pour me liberer ? Ou est-ce que je m'enchaîne, en réalité, à trop m'attacher au passé ? Ou alors, écris-je pour répondre à toutes ses questions-là ? J'ai comme un besoin profond de décortiquer mes émotions, mes actes, mes sensations. Comme un profond besoin de m'analyser. De vous analyser ?

" Un taureau, ça peut culbuter 50 vaches par jour ! Vous vous rendez compte ? Mais 50 vaches par jour, ça veut dire quoi ? Ca veut dire 350 la semaine ... Putain, ça m'fout la rage ! "

Mmmm ...

Il lui a prit la clope des mains juste pour m'emmerder. Et, il s'est approché de moi, avec son putain de sourire charmeur scotché au coin des lèvres. Il l'a lentement portée à sa bouche, sans me quitter des yeux. Il me défiait. Ca le faisait jubiler d'me voir en rogne. Là, il a avancé son visage à quelques centimètres du mien, les yeux pétillants. Je l'attendais. J'savais bien qu'il allait me cracher la fumée au visage. Bon Dieu, j'l'aurais bien giflé. Bon Dieu ... J'crevais d'envie de l'embrasser.